Napoléon, comme Louis XIV, comprit la force de l’art pour éduquer et instruire. L’opéra fut un des rouages de cette politique habile. La détermination napoléonienne se concrétise grâce à une armée de compositeurs regroupée au sein du Conservatoire, ouvert en 1795 : les noms de Catel, Lesueur, Méhul, Fontenelle – entre autres – ne méritent pas l’oubli qui les enveloppe aujourd’hui.
adin • Extraits des quatuors en ut majeur et la mineur, op.3 n°1 et 3 Cherubini • Les Abencérages : « Épaissis tes ombres funèbres » •
Anacréon : « Jeunes filles » Baillot • Extrait du quatuor en si mineur, op. 34 n°1 Lemoyne • Phèdre : « Il va venir » Lesueur • La Mort d’Adam : « Il lira dans mon coeur » Méhul • Valentine de Milan : Romance de Valentine Gluck • Iphigénie en Aulide : « L’ai-je bien entendu »
Salieri • Les Danaïdes : « Par les larmes, dont votre fille » Sacchini • Œdipe à Colone : « Dieux, ce n’est pas pour moi »
Spontini • La Vestale : « Toi que je laisse sur la terre » Piccinni • Didon : « Non ce n’est plus pour moi »
Judith Van Wanroij : soprano Quatuor Cambini-Paris