Dans ce projet les musiciennes Elise Dabrowski et Caroline Marçot ont composé la musique d’une série de poèmes écrits en français par Giacinto Scelsi qu’elles mettent en miroir avec ses pièces vocales composées de phonèmes dénués de signification.
Elles donnent au plateau une dimension corporelle et scénique où le travail sur le corps musicien en acte chorégraphique permet d’incarner la matière du mouvement.
La chorégraphe, metteuse en scène Julie Galopin est partie de la vibration du son pour inscrire leurs corporalités dans la justesse de leurs déplacements et affiner leurs présences en scène.