De tout temps, les fidèles ont chanté des cantiques dans les églises et les compositeurs, tels Jean-Sébastien Bach ou Goerg Friedrich Haendel ont fait résonner les plus vieilles voûtes d’Europe de leurs musiques d’action de grâce.
Dans ce programme, un dialogue s’installe entre la voix de l’âme (Hélène Le Corre), celle du Christ au son de l’orgue (Frédéric Desenclos) et celle du violon (Patrick Cohën-Akenine) qui symbolise l’éternelle félicité.
Les arias se succèdent pour appeler à la libération de l’âme face aux tourments de la vie, à l’expression de la douleur devant la mort du Christ et à la joie confiante envers le Seigneur.
Grâce à l’intensité de cette musique, l’assemblée s’élève vers une divine béatitude libératrice.